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    Effet collatéral de la pandémie de Covid-19, les patients atteints d’une pathologie chronique ont déserté les consultations des hôpitaux, dès le mois de mars 2020. Par peur d’être contaminés, mais aussi sur les recommandations des autorités sanitaires, ils ont préféré reporter ou tout simplement annuler leurs rendez-vous, faisant craindre aux professionnels de santé un retard de prise en charge et un risque de décompensation potentiellement grave. Dans un tel contexte, la généralisation de la téléconsultation et de la télésurveillance n’a jamais été aussi pertinente. Explications.

     

    MALADIES CHRONIQUES VS COVID-19 : UNE SITUATION INQUIÉTANTE

     

    Identifiées comme personnes à risque en raison de leur comorbidité, certains malades chroniques ont été encouragés à redoubler de prudence face au Covid et à rester dans la mesure du possible chez eux. Pour ces patients, les périodes de confinement ont constitué un véritable risque :  beaucoup ont annulé leurs rendez-vous de suivi. Une fausse bonne idée, sur laquelle les professionnels de santé ont tenté d’alerter dès la fin mars.

    Par ailleurs, l’augmentation de la sédentarité peut avoir des conséquences sur l’évolution de plusieurs pathologies comme la dépression, l’obésité etc.

    Mise en place de circuits distincts entre patients suspects et patients non Covid-19, désinfection des locaux et du matériel, modalités d’accompagnement personnalisées, ordonnances renouvelées automatiquement… Plusieurs actions ont été entreprises pour rassurer les malades chroniques et les faire revenir à l’hôpital, sans toujours rencontrer de succès. Les médecins ont en parallèle proposé la téléconsultation. « Pour un patient ayant une insuffisance cardiaque par exemple, on peut simplement lui demander de se peser chez lui et l’interroger sur son essoufflement quand il monte un escalier. Ce sont des signes qui vont nous pousser à lui proposer de venir nous voir, tout en mettant en place des mesures de protection », expliquait ainsi en avril Pierre-Louis Druais, médecin généraliste et membre du conseil scientifique, sur BFMTV.

    La téléconsultation s’est ainsi imposée comme un moyen sûr de garder le lien avec ses patients, mais le pèse-personne et le ressenti du patient atteignent vite leurs limites en matière d’outils de diagnostic… Face à des dispositifs limités comme la balance connectée, les dispositifs de télé-surveillance permettant un suivi multiparamétrique en continu se révèlent particulièrement adaptés.

    LES AVANTAGES DE LA TÉLÉSURVEILLANCE

     

    Hospitalisations évitées, maintien à domicile facilité, amélioration du suivi médical, détection à temps d’une dégradation de l’état de santé pour une prise de décision médicale adaptée… les promesses de la télésurveillance sont grandes pour les patients atteint de diabète, de BPCO, d’apnée du sommeil et d’insuffisance cardiaque. Dans ce nouveau paradigme, les patients peuvent continuer à vivre normalement chez eux, tout en sachant que leur état de santé est monitoré. Mais pour que la télésurveillance marche vraiment, il est nécessaire de s’appuyer sur des dispositifs médicaux fiables, confortables et ergonomiques pour les patients qui doivent pouvoir vivre normalement, en oubliant qu’ils sont télé-suivis. En phase avec ces enjeux, une nouvelle gamme de dispositifs médicaux est en train de voir le jour : plus légers, plus fiables et intégrant des nouvelles technologies embarquées, ces outils ont pour objectif un meilleur suivi et une acceptabilité plus forte de la part des patients.

    Dernier point et non des moindres, ces outils doivent être proposés aux professionnels de santé pour les aider à mieux surveiller leurs patients, sans surcharge de travail et donc sans générer d’alertes intempestives…

     

    CHRONOLIFE : 6 DISPOSITIFS MÉDICAUX EN 1 POUR UN TÉLÉ-SUIVI EN CONTINU

     

    Conscient de ces enjeux, Chronolife a développé un t-shirt intelligent breveté, capable de capturer en continu 6 paramètres physiologiques différents, en mode de vie réelle :

    • Électrocardiogramme
    • Respiration thoracique
    • Respiration abdominale
    • Activité physique
    • Température
    • Impédance pulmonaire

    A la différence d’autres solutions de télésurveillance, Chronolife intègre les capteurs directement dans le tissu, ce qui fait que les patients peuvent porter le t-shirt comme n’importe quel autre vêtement et le laver en machine. Cette facilité d’utilisation améliore l’observance et ouvre la voie à une surveillance à distance continue. Grâce à Chronolife, les professionnels de santé disposent d’informations précises sur l’état de santé de leurs patients, sans qu’ils n’aient besoin de se déplacer à l’hôpital. Cet outil de suivi fiable leur permet d’assurer pleinement la continuité des soins entre l’hôpital et le domicile des patients, et éviter tout risque de contamination à ces publics fragiles.

    Le vieillissement de la population conjugué à l’incidence croissante des maladies chroniques conduit à davantage d’admissions à l’hôpital. Ce double phénomène a pour conséquence d’accroître la pression sur les Établissements de soins, déjà saturés. L’enjeu est donc de taille pour les systèmes hospitaliers qui doivent éviter l’engorgement des services – surtout dans le contexte actuel de pandémie –, sans pour autant sacrifier la prise en charge de leurs patients. Comment soulager les établissements de soins tout en assurant le suivi des patients ? Voici des pistes de réponse.

     

    L’AUGMENTATION DE LA PRÉVALENCE DES PATHOLOGIES CHRONIQUES 

    Première cause de mortalité dans le monde selon l’OMS, les maladies chroniques sont responsables de 63% des décès. Insuffisance cardiaque, diabète, BPCO, cancers … La prise en charge de ces pathologies doit faire l’objet d’une attention toute particulière, en vue notamment d’améliorer la qualité de vie du patient, à travers un continuum de soins adapté.

    Actuellement, le suivi thérapeutique de la plupart des patients atteints de pathologies chroniques vise à maintenir un état stable, par le biais de traitements médicamenteux et chirurgicaux, mais aussi de conseils de prévention pour disposer d’une meilleure hygiène de vie. Les soins sont dispensés lors de consultations régulières tout au long de l’année, et lors des hospitalisations, souvent trop nombreuses. Pour de nombreuses pathologies chroniques comme l’insuffisance cardiaque, respiratoire ou encore le cancer, ces hospitalisations sont souvent associées à une morbidité et une mortalité accrues.

     

    LE VIEILLISSEMENT DE LA POPULATION

    Dans les 40 prochaines années, le nombre de personnes âgées de plus de 65 ans au sein de l’Union Européenne devrait doubler, passant de 85 millions en 2008, à 151 millions d’ici 2060. Dans la mesure où les personnes de plus de 65 ans consomment plus de soins et qu’ils présentent souvent des pathologies chroniques, leur prise en charge constitue un défi pour les services hospitaliers. Tout l’enjeu consiste à mettre en place des systèmes de surveillance au long cours, plus précis et personnalisés, pour prendre en charge les patients à domicile et n’accueillir à l’hôpital que ceux qui en ont réellement besoin. 

    ÉVITER LES (RÉ)HOSPITALISATIONS DANS LA MESURE DU POSSIBLE

    Les réadmissions pèsent sur les budgets nationaux de santé, qui sont presque déjà tous sous pression en raison des demandes croissantes et de l’augmentation du coût des soins de santé. Une situation qui devrait empirer dans les prochaines années. Le développement de la chirurgie ambulatoire, le raccourcissement des durées moyennes de séjour font partie des mesures mises en place. Mais elles vont demander une surveillance à domicile de plus en plus précise.

    In fine, les hôpitaux doivent pouvoir limiter les réadmissions et maintenir à domicile les personnes malades en leur assurant un suivi de qualité, afin d’éviter la saturation du système de soins. En France, une étude portant sur 1000 patients âgés de 75 ans et plus, admis en urgence dans neuf hôpitaux, a montré que 14,2% des patients avaient dû être réadmis à l’hôpital dans les 30 jours, de façon non planifiée. Mise en place de plans garantissant la mobilité et l’indépendance des patients dans les 24h suivant une opération chirurgicale, communication claire avec les patients, surveillance étroite de leur état de santé dans les deux semaines suivant leur sortie d’hôpital… Plusieurs facteurs ont été identifiés pour anticiper la dégradation de l’état de santé et éviter les ré-hospitalisations.

    PATHOLOGIES CHRONIQUES : COMMENT ASSURER LE SUIVI DES PATIENTS À DISTANCE ?

    Assurer le suivi des patients en mettant en place des dispositifs nouveaux de prise en charge de la santé à domicile peut permettre d’éviter (ré)hospitalisations non nécessaires. La télésurveillance est une réponse adaptée à cette problématique, dans la mesure où elle permet aux professionnels de santé de suivre leurs patients à distance, en disposant de données physiologiques en quasi-temps réel. Réduire les visites en cabinet, anticiper la dégradation de l’état de santé du patient, dresser des diagnostics précoces, améliorer la qualité de vie du patient en assurant une réelle continuité de soins… autant d’avantages garantis par la mise en place d’un dispositif de télésurveillance.

    Pour être réellement utile aux professionnels de santé, sans constituer une charge de travail supplémentaire, il est préférable que la télésurveillance repose sur un dispositif multiparamétrique, s’appuyant sur un service complet assurant une prise en charge globale. Ce type de solution permet d’assurer la surveillance des variations physiologiques des patients à distance, sans nuire à leur qualité de vie. Électrocardiogramme, respiration, température, impédance pulmonaire… Les récentes avancées technologiques permettent d’équiper les dispositifs médicaux d’une multitude de capteurs, ce qui permet aux professionnels de santé de disposer de données pertinentes pour poser un diagnostic. A terme, les pathologies chroniques pourraient ainsi bénéficier d’un suivi plus personnalisé, plus régulier et plus accessible.

    Conscient de l’impératif de soulager l’hôpital, tout en garantissant un suivi optimal des patients, Chronolife a mis au point un t-shirt connecté, capable de collecter en continu 6 paramètres physiologiques, tout au long de la vie quotidienne du patient. Lavable en machine et facilement « oubliable » par les patients, ce dispositif médical se porte aisément et constitue un outil fiable pour généraliser la télésurveillance. In fine, l’adoption de ces solutions par les systèmes de santé devrait permettre d’aboutir à une meilleure prise en charge des patients atteints de maladies chroniques et au maintien à domicile des personnes malades et fragiles en toute sécurité, en vue d’assurer la continuité des soins entre l’hôpital et le domicile.

    Anticorps monoclonaux, cellules souches,  biotech, vaccins à ARN messager… Ces 10 dernières années, les avancées des sciences du vivant ont donné lieu à des innovations thérapeutiques enthousiasmantes. L’alliance inédite de la génétique, des datas, de l’imagerie et de la robotique, concoure à l’émergence d’écosystèmes d’innovation toujours plus agiles, regroupés sous un même objectif : mettre à disposition des patients des nouveaux modes de diagnostic et traitements efficaces. Si le rôle de l’industrie pharmaceutique reste crucial dans ce nouveau paradigme, elle doit aussi se réinventer pour rester compétitive et en phase avec les besoins des médecins et de leurs  patients. Continuum de soins, prévention, personnalisation de l’offre de soins, stratégie de différenciation… C’est en utilisant les produits et services développés par les nouveaux acteurs de l’e-santé qu’il sera possible de relever les défis posés par un univers de santé davantage performant, complexe et connecté.

     

    FAVORISER LE CONTINUUM DE SOINS

     

    De plus en plus, le patient va devoir être suivi hors les murs de l’hôpital. L’efficacité thérapeutique et l’observance qui étaient jusqu’alors « contrôlables et contrôlées » par les établissements de soins pendant les séjours hospitaliers vont devenir moins appréhendables. Dans ce contexte – des séjours hospitaliers raccourcis, des patients en mobilité – les groupes pharmaceutiques vont souhaiter disposer de données en vie réelle sur les patients, afin de mieux évaluer l’efficacité thérapeutique de leur traitement, en particulier dans le cadre des négociations tarifaires. Les outils de santé connectés et digitaux adaptés à chaque thérapie et cas d’usage permettent de créer ce lien pour optimiser le continuum de soins du patient entre l’établissement de soins, la ville et son domicile. C’est une opportunité supplémentaire pour les laboratoires de renforcer leurs connexions avec les différentes parties prenantes autour du patient.

     

    SE DIFFÉRENCIER DES AUTRES LABORATOIRES

     

    L’expiration des brevets et l’essor des médicaments génériques va amener les laboratoires pharmaceutiques à proposer de nouveaux services autour des médicaments pour renforcer leur relation avec les professionnels de santé.  En se concentrant uniquement sur le médicament, il sera difficile pour un laboratoire de se distinguer des autres. La solution réside dans le « beyond the pill », c’est-à-dire la capacité à tirer profit des nouvelles technologies pour proposer de nouveaux services, « au-delà du médicament ». Plusieurs laboratoires l’ont d’ailleurs compris, en créant leur propre entité de développement de solutions d’e-santé ou en nouant des partenariats avec des sociétés IT.

    PERSONNALISER L’OFFRE DE SOINS EN ASSOCIANT PRODUITS ET SERVICES

     

    Pour gagner en efficacité et créer de la valeur, les laboratoires doivent de plus en plus s’inscrire dans le développement incontournable de la e-santé et des opportunités qu’elle induit. Médicaments, dispositifs médicaux, objets connectés, applications de santé… Une des meilleures façons de créer de la valeur est de proposer des solutions de santé qui associent produits et services. Ainsi, les laboratoires se donneront les moyens de :

    • Faciliter le travail des médecins en leur permettant d’avoir à disposition davantage d’informations sur l’état des patients, l’efficacité des médicaments prescrits et en les dotant d’outils d’aide à la décision.
    • Améliorer la relation médecin patients et aider ces derniers à mieux se  prendre en charge, en agissant dans le même temps sur les problématiques de non-observance.
    • Favoriser la prise en charge à domicile par la médecine libérale de patients de plus en plus graves à un stade de plus en plus précoce 
    • Répondre aux enjeux rencontrés par les établissements de soins et notamment limiter la saturation des services hospitaliers, en équipant les patients de dispositifs de suivi à distance leur permettant de rester à domicile, dans un environnement qui leur est familier
    • Apporter des données en vie réelle aux payeurs, sur l’efficacité des produits et services financés
    • Bénéficier d’une différenciation en termes d’image, en communiquant sur le service rendu au professionnel de santé et à l’amélioration du confort de vie du patient

    Dans cette nouvelle chaîne de valeur, les produits et services proposés sont conçus en fonction du parcours-client de chacun des acteurs du médicament, avec des bénéfices pensés sur le long terme. Personnaliser l’offre de soins en associant produits et services constitue une véritable opportunité pour les laboratoires d’apporter un service global aux médecins et de créer une nouvelle relation entre les médecins et le laboratoire pharmaceutique.

    INTÉGRER LA PRÉVENTION, LE SUIVI ET LE PRÉDICTIF DANS L’OFFRE DE SERVICES

     

    Les maladies chroniques représentent un coût annuel de 115 milliards d’euros aux pays de l’Union européenne, soit 0,8% du PIB. Compte tenu du vieillissement de la population, c’est un enjeu de taille. Pas étonnant dans ce contexte que les autorités de santé insistent de plus en plus sur l’importance de la prévention, qui permettrait d’économiser plusieurs milliards d’euros chaque année en Europe. Et ce, malgré le fait que le budget de la Sécurité Sociale alloué à la prévention soit resté inchangé depuis 15 ans, mais c’est une autre histoire !

    Complètement en phase avec la médecine dite prédictive, préventive et personnalisée, organisée autour des preuves et du parcours de soin, de nombreux acteurs innovants proposent désormais aux individus de mieux appréhender leur état de santé. Ce changement de paradigme impose aux laboratoires de diversifier leur portefeuille, en incluant davantage l’éducation thérapeutique, la télésurveillance et la prédiction à destination des patients présentant des pathologies chroniques pour ainsi limiter ou anticiper les récidives. Le digital vient, là encore, en renfort des laboratoires. Dans une démarche « around the pill », il peut permettre de renforcer l’efficacité des médicaments en mettant en place des services associés. Dans cette stratégie, le digital permettra d’aller chercher des sources de revenus additionnelles, en dehors du médicament.

    Fort de son expertise dans l’intégration de capteurs sur des wearables, Chronolife dispose d’un portfolio d’outils technologiques brevetés, permettant aux laboratoires de proposer une nouvelle génération de dispositifs médicaux, certifiés santé. Ces solutions permettent à l’industrie pharmaceutique de se positionner sur une offre de services différenciante et de prendre un temps d’avance sur la concurrence, en toute sécurité vis-à-vis des données patient.

    Dans le monde de l’assurance, acquérir de nouveaux clients coûte cher et conserver ses clients est de plus en plus ardu. On estime ainsi que le coût d’acquisition d’un nouveau client est compris entre 700 et 800 euros. Alors qu’il y a encore quelques années, un assureur pouvait espérait garder un client environ 9 ans, désormais la moyenne est descendue à 4 ans. Des difficultés accrues par la mise en place de la Loi Hamon, qui autorise les assurés à résilier à tout moment leur contrat au bout d’un an, et oblige les assureurs à prouver qu’ils ont bien animé leur contrat. Sans compter que dans le cadre d’un crédit emprunteur, les assurés n’ont plus l’obligation de souscrire auprès de l’assureur de l’organisme de crédit… Dans ce contexte, les assureurs ont tout intérêt à se différencier en apportant de nouveaux services utiles et innovants à leurs assurés, afin de les fidéliser davantage. Les actions de prévention et de diminution du risque – au-delà de la simple éducation santé – représentent ainsi de formidables opportunités pour les assurances et mutuelles, tant au niveau de l’assurance individuelle que collective. Explications.

     

    ASSURANCES : QUELLES ACTIONS DE PRÉVENTION METTRE EN PLACE ?

     

    Il y a quelques années, de nombreuses assurances et mutuelles se sont lancées dans la prévention dite « d’éducation santé », c’est-à-dire la mise en place de programmes de prévention pour inciter leurs assurés à adopter de nouveaux comportements plus sains. Si l’intention était bonne, la portée de ces dispositifs laisse encore à désirer. Pour le grand public et les entreprises, il faut pouvoir aller plus loin dans la prévention, en s’attelant à l’anticipation par rapport à des facteurs de risque, en vue par exemple de favoriser le retour au travail, de réduire les facteurs de risque d’accidents ou encore de limiter la ré-hospitalisation en cas de maladie chronique  

    Un exemple parmi d’autres : mettre en place une plateforme de télésurveillance des patients, pour les assurés atteints d’insuffisance cardiaque chronique ou d’insuffisance respiratoire. En plus de proposer une solution innovante et utile, ce type de dispositif présente l’avantage de recréer du lien avec ses assurés.

    Pour y parvenir, vous devez pouvoir vous appuyer sur des dispositifs de santé connectés, permettant d’aller au-delà des simples actions de coaching. Exit donc les bracelets connectés et autres compteurs de pas, le dispositif retenu doit pouvoir permettre d’anticiper la survenue d’événements graves à l’instar du t-shirt connecté Chronolife. Facile d’utilisation et lavable en machine comme n’importe quel autre t-shirt, cette solution offre un suivi continu multiparamétrique en mode de vie réelle, sur 6 paramètres physiologiques différents : électrocardiogramme, respiration thoracique et abdominale, activité physique, température cutanée et impédance pulmonaire.

    Proposer un outil comme Chronolife, c’est aussi une occasion pour l’assureur d’échanger et d’être présent aux côtés de l’assuré, sur des sujets importants et graves pour lui, en dehors de l’appel de la prime et de la gestion du sinistre.  

    ASSURANCE COLLECTIVE : FIDÉLISER LES GRANDS COMPTES AVEC DES DISPOSITIFS DE PRÉVENTION INNOVANTS

     

    Du côté des entreprises, l’assureur peut mettre à disposition, selon ses propres conditions financières et stratégiques, des outils pour assurer la surveillance des personnes à risque. Ainsi, proposer une plateforme de services de prévention, associée à un dispositif de télésurveillance, sera particulièrement intéressant pour les travailleurs à risque, les travailleurs isolés et les travailleurs présentant des facteurs de risque. Plusieurs possibilités s’offrent à l’assureur :

    • Proposer un suivi des personnes présentant des facteurs de risques cardio-vasculaires ou respiratoires identifiés, dans une optique de retour au travail sécurisé après un arrêt de travail, prenant la forme d’un dispositif de télésurveillance.
    • Accompagner les personnes souffrant de maladie chronique, en dehors de l’arrêt de travail, pour accéder à une meilleure surveillance de leur état de santé et réduire le nombre de ré-hospitalisations.

    Proposer un dispositif tel que Chronolife dans votre offre de services aux entreprises permettra de fidéliser davantage ces grands comptes. Une prestation qu’il sera également intéressant de mettre en avant dans le cadre d’une réponse aux appels d’offres. Vous le savez : au-delà du prix, le fait de proposer des services complémentaires permet bien souvent de se différencier et de remporter un appel d’offres.

    De plus en plus engagées dans des politiques de RSE, les entreprises sont en effet enclines à développer des actions de prévention effectives pour leurs salariés, sur des pathologies spécifiques. Proposer un tel service permet de répondre à une demande de plus en plus pressante des entreprises, tout en se démarquant des autres acteurs. De la prise en charge plus ou moins partagée entre les mutuelles et les entreprises, à un investissement du patient, plusieurs modèles économiques sont possibles.